Funérailles d'un Professeur d'EPS en Nouvelle-Zélande.

Aka lors du décès d'un professeur d'EPS en Nouvelle-Zélande. Que dire de plus?....

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"Éduquer, ce n'est pas remplir des vases mais allumer des feux" Montaigne

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Elèves, si vous êtes de passage, prenez ce dont vous avez besoin.
Revenez voir, revoir et relire.

Je laisse souvent les anciennes évaluations, parce qu'elles sont intéressantes historiquement et pour donner l'idée de l'évolution de la pratique. Les plus récentes sont toujours présentées en premier.

Chers élèves...

DES LA RENTREE...
Consultez notamment les modalités de travail et les nouveaux référentiels du BAC...quelques changements à prévoir parfois.
Attention l'ancien niveau N4 est exigible à la fin de la terminale normale et en EPPCS de spécialité...l'ancien niveau 5 est attendu en terminale à la fin de l'option EPS ...
Plus on avance, plus c'est difficile.
Signalez moi les erreurs possibles ou les documents obsolètes. Ca peut m'échapper... ;)

Rainbow de talents

RAINBOW DE TALENTS !!!! Le film que j'ai réalisé sur mes élèves au lycée Rimbaud d'Istres, sorti au cinéma Le Coluche en 2011. A voir. Absolument... Pourquoi un film sur mes élèves? Pour montrer qu'en dehors des cours, elles et ils, étaient tous des individus plus grands et plus fantastiques que l'on pouvait le penser. L' école les réduit trop à des êtres normés et vides. Ils ont le feu sacré que nous avions, et plus encore... ils sont énormes, chacun dans leur voie. Lisez la phrase qui les a porté toute leur vie à la fin de chaque séquence... Comment ne pas avoir confiance dans la jeunesse après ça? Je dédie ce film à Sarah Meret, élève au lycée qui s'est battue encore deux ans après ces images contre un cancer des os, et qui nous a quitté. J'ai eu la chance de capter un peu de sa lumière. Elle reste présente en nous... Je la remercie pour cette leçon de vie. Tous les jours... Franck Martini

Le film que j'ai réalisé sur mes élèves au lycée Rimbaud d'Istres. A voir

Docs Etirements

Vous pouvez retrouver une partie des articles publiés dans la presse par le prof d'EPS qui abordent les grands domaines de l'entraînement, l'alimentation, le dopage etc.
Cliquez sur:
http://racecoach.blogspot.com


Fiche d'étirements avec les groupes musculaires sollicités à remplir.







Autres possibles...expirations sur l'étirement doux....
Pas d'à-coups, tenir la cheville plutôt que le pied...


Regarder devant, colonne droite.



Les étirements sont inutiles avant et après une activité physique

Jeune femme faisant du stretching© istockphoto.com/Michael Krinke
Depuis les années 80, les étirements ont la cote auprès des sportifs. De la prévention des blessures à une meilleure récupération, ils sont censés être un complément indispensable à l’activité physique. Or, de nombreuses études montrent que le stretching peut avoir, selon le sport pratiqué, un effet négatif sur la performance et la prévention des blessures.
Initialement, les étirements étaient recommandés pour améliorer ce que les spécialistes appellent la mobilité articulaire. Autrement dit, les différentes techniques de stretching doivent permettre à un muscle de s’assouplir sans provoquer de lésions au niveau des articulations et de gagner ainsi en flexibilité. Les différentes techniques de stretching contribuent d’ailleurs réellement à augmenter la mobilité des athlètes et sont donc utiles pour des sports comme la gymnastique ou la danse. Le problème vient par contre du fait que la pratique a été généralisée à tous les sports, alors que justement, lorsque la vitesse ou la force sont en jeu, les étirements peuvent avoir un effet négatif sur la performance et la prévention des blessures.

Pourquoi les étirements ne préviennent pas les blessures

Contrairement aux nombreuses idées reçues, les étirements n’aident pas les athlètes à se protéger des blessures. Bien au contraire. A force d’étirer un muscle, on l’entraîne à acquérir une plus grande flexibilité. Résultat : le seuil de la douleur tolérée par le muscle augmente. Lorsque la personne commencera son activité, le risque de blessure sera élevé car le muscle sera habitué à dépasser son seuil de tolérance à la douleur. Et ce n’est pas tout. Un étirement impose à un muscle une tension maximale qui peut engendrer des microtraumatismes au niveau des fibres musculaires. Lors de l’effort, les parties du corps étirées peuvent s’avérer ainsi plus douloureuses.  En outre, les muscles et ligaments possèdent des gardiens contre les étirements excessifs, appelés mécanorécepteurs. Ces derniers sont responsables de la proprioception, véritable réflexe protégeant nos articulations en cas de risques d’entorses ligamentaires. Ce réflexe proprioceptif est perturbé par le stretching pendant plus d’une heure.

Un effet négatif sur la performance

S’il ne l’aide pas à se prémunir des blessures, le stretching ne permet pas non plus au sportif d’augmenter ses performances. Le muscle étiré perd ainsi de sa force et cela dure pendant plus d’une heure. Un autre phénomène, appelé le creeping, pose aussi des problèmes de performances. Lors d’un étirement, les fibres musculaires, qui sont normalement en torsade, s’allongent provoquant une diminution de leur capacité d’absorption et donc de leur efficacité. Le phénomène est réversible, mais il faut attendre longtemps avant que le muscle se retrouve dans son état initial. Ces deux phénomènes rendent le stretching inutile voir contre-productif avant un effort qui nécessite de la force ou de la vitesse. Le saut est le sport qui pâtit le plus des étirements: il a en effet été montré qu’on sautait en moyenne 4% moins haut en s’étirant avant de pratiquer un exercice où  la détente est en jeu.

Pas de diminution des courbatures après l’effort

Autre idée largement répandue, les étirements seraient censés améliorer la récupération après un effort. Pour cela, il faudrait que le stretching favorise la circulation sanguine pour éliminer les déchets, prévienne les courbatures ou entraîne un relâchement du muscle. Or, pratiqués directement après l’effort, les étirements ne provoquent pas ce genre de réactions. L’étirement provoque une compression des vaisseaux sanguins et ne favorise donc pas la circulation, contrairement à ce qu’on l’on devrait avoir pour assurer une meilleure récupération des fibres musculaires lésées lors de l’effort. On constate d’autre part une augmentation de la myolyse, soit une dégradation du muscle et une diminution de la force musculaire: le stretching n’aide donc pas à combattre les courbatures. Enfin, pratiqués juste après l’effort, les étirements ajoutent une tension musculaire supplémentaire qui risque de favoriser les microtraumatismes à l’intérieur du muscle.
Contrairement aux idées reçues, le stretching n’est donc utile que pour augmenter la souplesse. S’il peut permettre une meilleure relaxation après l’effort lorsqu’il est pratiqué longtemps après l’exercice (six heures sont recommandées), il ne semble pas utile avant et directement après un sport qui nécessite force, vitesse ou détente.

Référence:

«Les exercices d’étirement dans la pratique sportive ont-ils encore leur raison d’être? Une revue de la littérature», Docteur Gérald Grémion, Hôpital orthopédique de la Suisse romande, CHUV, in Revue médicale suisse, n° 28, 2005.


Exemples de programmes d'étirements:


Le meilleur pour donner des conseils: 
https://www.christophe-carrio.com/fr/blog/etirements-c31



Un peu de bla bla psychologique ici, mais bon...



Séance de 2 x 30mn pour débutant...




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